Bonne lecture.
L’histoire que je vais vous conter est celle d’un jeune nain à qui la vie n’as pas était facile.
En effet dés sont plus jeune âge il est né de l’union illégale d’un grand guerrier nain, Borzak, plus connu sous le nom de « la tornade tranchante » car il était un fabuleux manieur de double hache et de la prêtresse elfe du sanctuaire de Sutol dédier au Dieu guerrier Mit-berval, la jolie Proa.
A cause de cette union ses parent ne pouvaient trouver ni trouver refuge au sein de la race naine ni au sein des elfes. Ils décidèrent alors de s’exiler vers le nord dans les hautes plaines là où personne ne pouvait les juger.
Ils y bâtirent une petite maison le long d’un ruisseau ils pensèrent y vivre des jours heureux. Mais la guerre en avait décidé autrement.
En effet une horde d’orques passèrent par les hautes plaines et découvrirent la petite maison de notre petit couple. Malgré le courage et la détermination de Borzak et les sorts de Proa, ils furent tuer sous les coups de l’armé d’orques. Avant de mourir Proa réussi à cacher son enfant derrière un chêne, espérant que les esprits de la forêt veillerait sur son enfant, pour que les orques ne puissent le découvrir et ainsi le tuer.
Et cela marcha car les orques ne découvrirent pas l’enfant.
La petite maison de Borzak et de Proa n’était plus qu’un amas de pierre et de cendres dégageant une épaisse fumée noire visible à plusieurs lieux à la ronde. Et c’est peu être cela qui permis à notre jeune enfant d’échapper à une mort certaine.
En effet comme la fumée était perceptible à plusieurs lieux à la ronde beaucoup de personne pouvait la voir. Et c’est cela qui permit à un voyageur humain de venir dans la direction du bébé. Une fois sur les lieux l’homme découvrit les corps de Proa et de Borzak ainsi que ceux de quelques orques. L’homme d’un âge certain avait une longue cape et un grand chapeau. Il marchait en s’appuyant sur un bâton de buis. En arrivant sur les lieux il comprit alors qu’une bataille avait eu lieu et que nos deux parents n’avait pas put rivaliser sous les coups innombrables des orques. C’est pendant qu’il mettait les corps en terre qu’ils entendit comme une voie venant de la forêt qui l’appelait.
« Viens étranger n’ai pas peur nous ne te voulons aucun mal. »
L’homme s’avança alors en direction de la voie. Une fois devant la forêt il demanda : « Que me voulait vous ô grands esprits de la forêt »
« Nous voulons que tu prennes soin de cet enfant et que tu l’élèves comme si c’était ton propre fils. »
Le chêne qui était en fait un Ent lui tendit alors l’enfant.
« Pourquoi moi ? » demanda la voyageur.
« Car nous ne pouvons nous occuper de cet enfant car comme tu as pu le voir en enterrant ses parents il est issue de deux races qui ne peuvent se mélanger car elle ce déteste depuis la nuit des Temps, les elfes et les nains. Nous ne pouvons ni le remettre à un nain ni à un elfe car il le tuerais sur le champ. Et si nous le gardons aucun elfe ne nous le pardonnerais. Mais comme toi tu es humain, tu peu lui apporter un avenir et puis nous savons que tu as toujours voulut un fils. Alors prend le avec toi et élève le comme s’il était de ta chair et de ton sang. »
« D’accord j’accepte. Mais j’aurai d’abord une faveur à vous demander. »
« Demande je te répondrait si je le peu. »
« Si vous le savez dites moi le nom de ses parents pour que je lui raconte, une fois qu’il aura l’âge de l’entendre, le récit de leur bataille contre ces orques pour lui sauver la vie. »
« L’elfe se nommait Proa et le nain se nommait Borzak. »
« Merci. Au fait savait vous si cet enfant porte un nom ? »
« Désolé mais je me souvient pas avoir entendu une seule fois le nom de cet enfant. »
« Ce n’est pas grave je lui donnerait un nom. Il se nommera Wedg. »
L’homme partit alors vers le sud avec l’enfant en remerciant l’Ent d’avoir veillez sur lui jusqu'à son arrivé.
Frobza qui était un vieux magicien s’occupa de cet enfant comme si c’était son propre fils comme lui avait fait promettre l’Ent. Alors dés qu’il fut en âge d’apprendre le magicien commença à lui apprendre quelque sorts. Wedg comprenait les sorts très rapidement ce qui était probablement dût au sang elfe qui coulait dans ses veines.
Voyant qu’il arrivait très rapidement à assimiler des sorts qui lui avait fallut des années pour assimiler parfaitement il commença à lui apprendre des sorts de plus en plus puissant.
Au bout d’une année Wedg connaissait tous les sorts du vieux magicien.
Alors le magicien voulut essayer de lui apprendre le maniement des armes. Il essaya de lui apprendre la pratique de l’épée mais Wedg n’arrivait pas à l’utiliser convenablement. Le vieux magicien pensa alors à autre chose. Comme il était mis elfe mi nain et qu’il lui avait fallut seulement une année pour apprendre des sorts qu’ils faut généralement une dizaine d’années pour les assimiler certainement dût à sa partie mi elfe il essaya de lui mettre une arme un peu plus lourde entre les main. Il essaya la hache. Quelle ne fût pas sa surprise lorsqu’il vu qu’il était bien plus à l’aise avec cette arme ci.
Le vieil homme partir alors avec Wedg demander à un de ses amis de venir pour lui apprendre le maniement de la hache. Ils partirent alors tous les deux voir cet amis. Cet amis était le maître d’arme du château de Skâm. Il prit alors Wedg pour élève. Le vieil homme laissa alors Wedg à son vieil ami Grôm Hûl. Wedg eut du mal à s’adapter à la vie dans un château. En effet depuis sa plus tendre enfance il vit avec Frobza dans un bosquet à l’écart de la civilisation comme il l’aurait fait avec ses parents Proa et Borzak. Mais l’entraînement lui plut. Et après quelques années il était devenu un expert dans le maniement de armes lourdes. Les haches, les marteaux et les fléaux n’avaient plus aucun secret pour lui. Il décida alors de retourner dans le bosquet de Frobza.
Il arriva dans la maison et vu Frobza allonger sur son lit. Frobza dit à Wedg que la maladie le rongeait depuis quelques temps et qu’il était leur pour lui d’entendre le récit des exploits de ses parents. Après lui avoir raconter l’histoire de son enfance, Frobza demanda à Wedg de ne pas essayer de se venger et d’aller la où il serait accepter, où personne ne te jugera d’après tes origines. Cet endroit où les elfes côtoient les druides, les rôdeurs, les paladins et les Ents. Qui sait tu croisera peu être un des Ents qui ta sauver la vie. Cet endroit se nomme « La Forêt Sylvaine ».
Elle se trouve vers l’est bien au delà des montagnes de Ryst’en. C’est un voyage difficile même pour toi. Mais c’est le seul endroit où tu trouveras enfin la paix et la sérénité. Et tu pourras ainsi améliorer ta pratique magique avec les druides et les paladins car ils connaissent des sorts que moi même j’ignorent l’existence. Je sais que tu les maîtriseras très rapidement comme tu as fait avec moi. Et tu pourras également apprendre d’autre technique de combats grâce à l’enseignement des elfes et des rôdeurs. Quand aux Ents ils t’enseigneront la sagesse et esprit tactique. Tu deviendras alors un gardien de cette Forêt.
Après ses paroles Frobza mourut avec un air paisible. Wedg l’enterra non loin de sa maison et mit le feu à cette dernière, coupant ainsi toute les traces de son passage dans cette région. Il partit alors vers La Forêt Sylvaine. En un mois il arriva à traverser les montagnes de Ryst’en et un mois plus tard il trouvât enfin La Forêt Sylvaine. Il y entra et après un petit rite de passage il devient enfin un gardien de cette forêt magique.